MAROC DÉSERT
Au Sud de Goulimine, ce ne sont pas les grandes dunes des catalogues ou des cartes postales, mais de grandes étendues, des espaces immenses balayés par le vent, des territoires humains. Les nomades y installent leurs campements, non loin des routes d’ailleurs, pour y faire brouter leurs troupeaux de moutons ou de chèvres. La plupart sont éleveurs, et leur nombre diminue d’année en année. Les populations nomades se rapprochent des villes au fil des ans. La sédentarisation est souvent au bout du chemin.